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Mon refuge sous terroir

Extrait de l'article de Pius Pujades de Le Punt Avuidu 11 février 2013.

Peu d'ils peuvent rappeler, par de la chance, mais les refuges que le Musée d'Histoire récupère dans divers lieux de la ville-le premier il a été le de le Jardin de l'Enfance-ils permettent avoir mémoire de lorsque les avions planaient par le ciel de Gérone. Il fait quelques jours, il s'a présenté le documentaire Cachés sous terroir, du réalisateur Quim Paredes et l'historien Jaume Prat. Il a été en le Municipal, plein, avec le maire en premier lieu et beaucoup de de les témoins qu'ils interviennent dans le film présents en la platea. Quelqu'uns n'ont pas été à temps, à certain âge, le pas des jours il est inexorable.
Il y a que féliciter les responsables avec Pere Freixas devant. Ils ont fait, chaque comme dans son lieu, un bon travail. Si vous avez occasion, bon la peine que vous écoutiez les témoins que le documentaire a réuni. Ils sont les découpages de notre histoire, très vifs. Au sortir du Municipal j'ai rappelé que, je juste joins à maison, dans l'actuelle promenade Fût Muraille, avant rue de Capuchinos, après que quelque des bombes effondrât une paire de maisons, il s'a fait aussi un refuge. J'il alors avait moins de un an, mais à des côtes de ma mère j'ai trouvé protection plus de une fois, lorsque le danger était imminent. Le refuge n'était pas officiel. Il l'avait terrassé à pioche et pelle, un premier voisin à nous que s'appelait Pere Dillet. Il pénétrait dans le coeur de la montagne depuis près maison.